
Le pouvoir d’achat, tout le monde en parle. Tout le monde prétend vouloir le défendre. Mais que voit-on ?
Certaines entreprises (et pas les plus petites) commettent des délits d’ententes illicites afin de conserver et même d'accroître leurs marges. Les opérateurs de téléphonie mobile sont pointés du doigt pour des pratiques anti-concurrentielles et des ententes, les établissements bancaires et la grande distribution ne sont pas en reste. La liste serait longue mais la palme depuis quelques années peut être attribuée aux compagnies pétrolières qui ne cessent de battre des bénéfices record. Si le pétrole coûtait réellement plus cher les marges et les bénéfices de ces compagnies devraient être constants. On ne peut donc expliquer ces bénéfices record que du profit tiré des augmentations du prix de vente de l’essence alors que le prix de revient serait en réalité relativement stable.
Le consommateur est aujourd’hui devenu la vache à lait de certaines entreprises et de certains actionnaires qui n’hésitent pas à fragiliser l’économie mondiale et les populations pour leurs seuls profits personnels.
On ne cesse de parler de moraliser la spéculation boursière alors qu’attend-on pour proposer des solutions, pour contrôler les pratiques anti-concurrentielles, pour contrôler le différentiel entre le prix de revient et le prix de vente ? Il y a urgence ! On se rend compte qu’une nouvelle pratique apparaît et qui consiste à fixer un prix de vente non plus à partir d’un coût de production mais à partir d’une valeur virtuelle qui est attribuée par le marché boursier des matières premières.
Quand va-t-on comprendre que ce sont les entreprises et les personnes qui y travaillent qui créent plus de richesses collectives que la spéculation boursière ?
96% des patrons auraient voté Nicolas SARKOZY. Le Président de la République parle de la règle des 3/3. Il convient alors qu’il fasse adopter par le Parlement l’obligation d’appliquer cette règle ; qu’il fasse voter par le Parlement une taxation de la spéculation boursière afin d’en partager les fruits avec les salariés, pour favoriser le pouvoir d’achat des ménages, pour équilibrer le régime des retraites !
Les entreprises du CAC 40 ont réalisé 35% de bénéfices en 2007 ! Qu’elles en conservent 20% elles n’en seront pas moins riches ! les 15% restants pour les salariés… ils vivront mieux !
Certaines entreprises (et pas les plus petites) commettent des délits d’ententes illicites afin de conserver et même d'accroître leurs marges. Les opérateurs de téléphonie mobile sont pointés du doigt pour des pratiques anti-concurrentielles et des ententes, les établissements bancaires et la grande distribution ne sont pas en reste. La liste serait longue mais la palme depuis quelques années peut être attribuée aux compagnies pétrolières qui ne cessent de battre des bénéfices record. Si le pétrole coûtait réellement plus cher les marges et les bénéfices de ces compagnies devraient être constants. On ne peut donc expliquer ces bénéfices record que du profit tiré des augmentations du prix de vente de l’essence alors que le prix de revient serait en réalité relativement stable.
Le consommateur est aujourd’hui devenu la vache à lait de certaines entreprises et de certains actionnaires qui n’hésitent pas à fragiliser l’économie mondiale et les populations pour leurs seuls profits personnels.
On ne cesse de parler de moraliser la spéculation boursière alors qu’attend-on pour proposer des solutions, pour contrôler les pratiques anti-concurrentielles, pour contrôler le différentiel entre le prix de revient et le prix de vente ? Il y a urgence ! On se rend compte qu’une nouvelle pratique apparaît et qui consiste à fixer un prix de vente non plus à partir d’un coût de production mais à partir d’une valeur virtuelle qui est attribuée par le marché boursier des matières premières.
Quand va-t-on comprendre que ce sont les entreprises et les personnes qui y travaillent qui créent plus de richesses collectives que la spéculation boursière ?
96% des patrons auraient voté Nicolas SARKOZY. Le Président de la République parle de la règle des 3/3. Il convient alors qu’il fasse adopter par le Parlement l’obligation d’appliquer cette règle ; qu’il fasse voter par le Parlement une taxation de la spéculation boursière afin d’en partager les fruits avec les salariés, pour favoriser le pouvoir d’achat des ménages, pour équilibrer le régime des retraites !
Les entreprises du CAC 40 ont réalisé 35% de bénéfices en 2007 ! Qu’elles en conservent 20% elles n’en seront pas moins riches ! les 15% restants pour les salariés… ils vivront mieux !
2 commentaires:
il y urgence puisqu'on nous n'arrivons plus à finir les mois.
Ma femme et moi travaillons et nous touchons 2400 euros nets par mois. nous avons deux enfants encore en train d'étudier.
Tous les mois nous dépensons plus de 400 euros d'essence pour aller au boulot + 700 euros de crédit pour la maison + électricité + fuel + frais liés aux études des petits+ + +
je me rappel qu'il ya pas longtemps on faisait les courses chaque semaine pour 120 euros et aujourd'hui sa nous coute 160, au minimum.
au final, toutes les fins de mois nous sommes à découvert et pourtant je fais des heures sups.
Les vacances cette année on va les faire dans la famille afin de préserver le portefeuille pour la rentrée de septembre car le grand va aller à la fac.
je me demande comment on fera si les prix continuent de monter comme cela.
Merci Joseph pour ces positions sur le pouvoir d'achat.
Il faudrait effectivement obtenir du gouvernement qu'il assume ses responsabilités en jouant un rôle de régulateur sur les prix qui s'envolent. Mais le peut-il encore ? le veut-il réellement ?
Sinon nous devons EXIGEZ des revalorisations salariales !
Oui, il commence à y avoir urgence !
Enregistrer un commentaire