Dans un récent sondage du CSA (janvier 2008) 51% des salariés du privé sont favorables au système actuel de la représentativité !
Pour les sondés l’influence, l’ancienneté et l’indépendance sont les trois premiers critères de la légitimité des OS : 33% - 32% - 31%
Le nombre d’adhérents et les cotisations n’arrivent qu’en dernier !
Pour la CFTC Métallurgie ce sondage doit éclairer les débats actuels sur la représentativité car il en ressort manifestement que les salariés ne veulent pas se voir obliger de se syndiquer (47% des salariés ne souhaitent pas se syndiquer et 40% n’en voient pas l’utilité), et ils voient les OS comme des organisations d’utilité générale (16% seulement considèrent que les syndicats ne sont pas constructifs).
Ce sondage met également en avant une démarche trop corporatiste des OS mais pour autant seulement 24% des personnes interrogées considèrent que les OS ne défendent pas les salariés.
Pour la CFTC Métallurgie cet éclairage arrive à point nommé car il montre clairement que les salariés français rejettent les formes de syndicalisation pratiquées dans certains Etats de l’UE (Grande Bretagne, Allemagne, Belgique et même Scandinavie) qui contraignent directement ou non à la syndicalisation !
A la lumière de ce sondage, la CFTC Métallurgie craint que le débat sur la représentativité ne soit alors perçu que comme un débat d’appareils bien éloigné des préoccupations des salariés qui eux attendent d’avantage une réforme de l’action syndicale.
Pour les sondés l’influence, l’ancienneté et l’indépendance sont les trois premiers critères de la légitimité des OS : 33% - 32% - 31%
Le nombre d’adhérents et les cotisations n’arrivent qu’en dernier !
Pour la CFTC Métallurgie ce sondage doit éclairer les débats actuels sur la représentativité car il en ressort manifestement que les salariés ne veulent pas se voir obliger de se syndiquer (47% des salariés ne souhaitent pas se syndiquer et 40% n’en voient pas l’utilité), et ils voient les OS comme des organisations d’utilité générale (16% seulement considèrent que les syndicats ne sont pas constructifs).
Ce sondage met également en avant une démarche trop corporatiste des OS mais pour autant seulement 24% des personnes interrogées considèrent que les OS ne défendent pas les salariés.
Pour la CFTC Métallurgie cet éclairage arrive à point nommé car il montre clairement que les salariés français rejettent les formes de syndicalisation pratiquées dans certains Etats de l’UE (Grande Bretagne, Allemagne, Belgique et même Scandinavie) qui contraignent directement ou non à la syndicalisation !
A la lumière de ce sondage, la CFTC Métallurgie craint que le débat sur la représentativité ne soit alors perçu que comme un débat d’appareils bien éloigné des préoccupations des salariés qui eux attendent d’avantage une réforme de l’action syndicale.
3 commentaires:
sarko a rien d'autre à faire?
on va voir la représentativité de l'ump avec les elections municipales!!!
dans mon entreprise la cgt et la cfdt se battent pour le ce et qd il faut intervenir pour conclure des accords sur les conditions de travail, les salaires... on les voit plus!! heureusment les autres sont là!
jean
vous nous saoulez avec votre représentativité...concentrez vous sur des sujets qui intéressent vraiment les salariés comme le pouvboir d'achat, la dégradation des conditions de travail...
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